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Je me demande pourquoi vous êtes arrivés à ce stade ,
Beaucoup de violence dans votre regard ,
De la haine tout ça m'est insupportable ,
Mais pourquoi un tel drame,
Toujours des menaces ,
Mais pouvons nous suive à la trace ,
Tous les bons citoyens ,
Car nous ne sommes plus au temps des croisades,
Mais il faut continuer à se battre,
Et vous pouvez montrer que cet enjeu est de taille,
Mais surtout pas d'alarme ,
Vous pouvez partir sans peur ,
Si vous voulez que du bonheur,
Allez voir ailleurs ,
La où ler monde est meilleur ,
Avec une pointe de couleur ,
Ça va adoucir les mœurs ,
Ouvrez donc votre cœur ,
Il est encore l'heure ,
Et sur votre table mettez y des fleurs ……..
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Ma gorge est plongée dans un silence,
Qui est tellement profond,
Elle goûte à l'amertume de vos mots,
Je pensais avec du temps,
Pour vous le dire mais j'étais absente ,
Mais je vous rassure que j'assume,
Mais vous êtes parti avec une telle arrogance,
Et tout en m'impressionnant ,
Mais je me rends compte que je marche sur du bitume,
Comme c'est devenu une coutume,
Mais je reste étonner par votre exubérance ,
Mais loin de votre présence je me parfume,
Je voulais apprendre ,
Mais comme vous êtes exclu,
Je suis ensevelie j'en suis consciente,
Mais je ne peux faire autrement,
Je reste dans ce coin qui enfume,
Mais je me demande qui peut troubler,
cette confiance ?
Au royaume de la brume,
J'en perds mes plumes,
Et il règne comme une atmosphère de méfiance ,
Et ça commence à prendre du volume,
Quand je me suis aperçue qu'en terminant cette
accoutumance,
J'ai du rayer de suite ce costume,
Qui était dans un rayon soldant ,
Je bifurque cette fausse griffure ,
Qui n'était pas du tout payant,
Je subsume cet individu,
D'avoir eu une philosophie catastrophante ,
Je réclame donc un du au commerçant,
Et non un légume comme il me présume …………...
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Je m'interroge vraiment sur son triste sort ,
Il est abandonné et seul dehors,
Je pense pas que cela soit des allusions,
Et je ne me fais aucune illusions ,
Car selon certaines expressions,
Je suis en possession d'un vertige d'agression,
Mais peut-être à court terme imprévisible,
Ma vie est sédentaire et paisible,
Que puis encore faire comme invention ?
Je dois retourner à la maison,
Mais j'erre à cette saison,
Il fait si bon,
Le ciel le soir est étoilé,
Ça serait dommage de ne pas en profiter,
Je peux envisager de me préserver,
Et peut-être je serais émerveillée,
Par cette bonté de pouvoir m'exprimer,
Dois-je confirmer que je suis en relation,
Avec des esprits qui sont sous tensions ,
Ils sont malheureusement dans une triste situation,
De pouvoir lire à répétition,
Tout ce que je laisse en abréviations,
Vont-ils comprendre un jour cette leçon ?
Révoltée et d'autres fois ravie ,
Chaque jour je tourne une page,
Et c'est mon strict devoir ,
Car j'écris ou je dessine au jour le jour ma vie,
Qui part hélas en ruine
Mais parfois j'illustre avec des images,
Je reste soumise aus lois de la jeunesse,
Et ça me vexe et ça devient pesant,
Bien que je sois souvent absente ,
Les pages se tournent doucement,
Juste le temps de lire simplement,
Pour voir si je ne laisse pas d'argent,
Car l'or c'est un véritable présent,
Mais tant que ma beauté m'émouvra ,
En me disant qui vivra verra ,
Hélas je n'ai pas le chance,
De voir des hommes convertis ,
Ils veulent subir,
Et moi je tombe dans l'abime,
Bien longtemps après l'apparition de la lumière ,
Je vis dans l'obscurantisme ,
Qui m'empêche de voir progresser dans le socialisme ,
Et à partir de ça le ciel s'obscurcit ………………..
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Mais vais devoir laisser cette fenêtre ouverte !
Vous connaissez la Provence,
Les champs de lavande ,
Et pensons encore aux cigales,
Qui elles matin et soir
Animent nos journées sombres et noires ,
Non la Provence c'est l'espoir de toute évidence,
Et elle vibre sous un ciel d'Azur,
D'un côté ça me rassure,
Bien souvent le vent balaye les nuages,
Qui risque d'n faire un orage,
Signe précurseur sans la moindre armure,
Mais elle laisse ses soupirs dans son sillage,
Mais elle a des reflets marine ,
Où les marins pêchent les magnifiques sardines,
Oui c'est assez typique ,
Mais nous la connaissons cette Provence ,
Grâce à bien des rubriques ,
Qui font la une des magazines,
Et on la connait de partout,
Avec le petit accent qui est bien de chez nous,
Rendant parfois jaloux nos visiteurs,
Ils ne vont pas nous voler cet accent à cette heure,
Oui mais les soleil est dans nos cœurs ,
Oui ce n'est pas un scoop comme partout ailleurs,
Les gens du Nord eux aussi il reflète dans leur cœur,
Ils ne l'ont pas toujours dehors,
Mais ils sont de bonne humeur,
Enfin retournons en Provence elle est dans l'âme,
Et les cœurs s'enflamment ,
Mais parfois je m'en éloigne,
De ce joli patrimoine,
Mais j'envisage un autre regard ,
Il faudrait que j'en témoigne,
Mais là je m'écarte ,
Je ne vois même plus le bleue de la mer,
Qui je dois dire est superbe,
Une belle carte postale …………..
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Il traverse l'océan en toute liberté,
Il ne voyait pas cet enfant qui pleurait,
Il demande de l'aide il avait l'air paniqué ,
Il n'a pas su si prendre ,
Pour le libérer et avec la force du vent,
Il c'est noyé ,
L'alerte fut donnée ,
Il ne parlais pas le Français,
C'est un étranger et un sans papier,
Comment peut-on savoir son identité,
Mais un homme Allemand est passé,
Il a pu lui parler en toute tranquillité,
Finalement avec un peu de chance ,
Il s'en est sorti calmement ,
Et moi j'étais allongée dans ma barque,
Au beau milieu de la mer,
J'avais les yeux à peine ouverts ,
Je filtrais l'univers,
Les pieds en éventails,
Posés sur mon chandail ,
J'écoute tous les détails,
Des enfants se chamaillent,
Au son d'un vent chaud,
Ça faisait comme un écho,
Qui caressait un peu les flots ,
Quand l'eau et la lumière,
reflètent sur l'eau ,
Ils jouent de leurs atmosphères,
Mais au milieu de nulle part,
Le silence et tous les bruits,
M'apaisent et je m'assoupis,
C'est une belle histoire ,
Mais voilà l'orage ,
Il s'échappe des nuages
Une petite brume légère ,
Mais hélas je regrette ,
Je ne peux faire des photos,
Mon appareil vient de couler dans l'eau …………..
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